Shelley Atkinson

[Histoire et écris plutôt classé DERANGEANTS mais, je pense aussi que c'est un peu le contexte... ]

- Au suivant !

La voix stridente résonnait maintenant dans sa tête. Elle lui faisait mal quelque part, alors qu'elle était inconsciente et, elle la sortait de ses songes, de cet endroit d'où elle n'avait aucune envie de sortir.

* J'ai malllll ! *

D'ailleurs, elle avait mal partout. Shelley se redressa encore chancelante et resta positionnée sur ses genoux un petit moment, avant de se lever et regarda autour d'elle. Une impression de déjà vu ou simplement un rêve, ou alors une réalité. L'endroit ne lui disait plus rien... du moins pas pour le moment. Elle porta la main à sa poitrine et fit une grimace. La personne qui appelait semblait se trouver derrière la porte entrouverte qui se trouvait face à elle. Shelley avança machinalement. Il lui semblait bien que l'autre porte resterait infranchissable. Mais pourquoi ?
La femme était là, assise et bien décidée à ce que la jeune femme la rejoigne sur la chaise vide, à ses côtés. Elle la toisait du regard comme pour lui demander formellement d'obéir et lui sourit. Un sourire à vous glacer le sang. Shelley n'aimait pas les femmes, aucune femme. Elle la sonda à son tour un très court instant puis, s'assit sans rechigner. Prit la feuille qu'elle lui tendait et attrapa le crayon posé sur la table.

Nom : Atkinson

Prénom : Shelley

Âge : 20 ans

Description physique : Ceux qui la connaissent depuis toujours, pourraient dire qu'à première vue, Shelley était une jolie fille aux cheveux très longs, brune avec de grands yeux clairs d'un beau bleu qui pétillait, malgré une certaine tristesse se lisant sur son petit minois. Actuellement, il n'en paraissait plus rien. Il suffit pour cela de la rencontrer pour comprendre qu'elle a bien changé au grand étonnement de tous. En effet, Shelley a, dans un moment pour une raison que personne ne connaît, coupé ses cheveux très courts dans sa seizième année et les a teint de bleu, les balayant pêle-mêle de chaque côté, dévoilant un regard vide de tout sens. Il est vrai qu'elle souriait très peu mais depuis bien longtemps Shelley ne souriait plus du tout et le seul œil, c'est-à-dire le gauche qui lui reste à présent, semble souvent visionner le vague dans une incompréhension la plus totale. Il serait difficile de ne pas remarquer son œil droit qui, maintenant bandé, pourrait faire réfléchir sur un événement important qui serait survenu dans les deux jours qui précédèrent ses vingt ans. Un œil en moins... si elle avait seulement pu perdre les deux ! Ils s'éteignirent à jamais pour une raison que tout le monde ignore encore... Enfant naît prématurément, elle atteint un petit mètre cinquante cinq pour quarante kilos à peine dès sa quatorzième année et, a un physique plutôt agréable. Elle ne grandira plus et ce petit bout de femme enfant attire déjà le regard des garçons et des hommes dont elle refusera toujours l'attention. Shelley est une enfant très fragile et le restera. Elle a pour seul vêtement une chemise blanche ouverte à présent sur des bandages tachés de sang, qui la laisserait incomprise aux yeux de ceux qui l'ont toujours connu. Blessures que personne ne peut expliquer si ce n'est elle même. Une petite jupe grise à taille basse lui tombe sur le haut de ses genoux et laisse apparaître de petites jambes un peu amaigries par le traitement qu'on lui fait subir là où elle se trouve et dont elle se passerait bien. De petites chaussures recouvrent ses pieds qui semblent à peine la porter.


Description psychologique : Si Shelley est toujours aussi silencieuse et énigmatique, ce n'est que les suites d'un long cheminement subit et incompris qui bouleversa son état psychologique, la basculant dans un monde irrationnel, décuplant une secrète langueur qui s'empara de son âme. Elle garda toujours secrètement les sévices différents qui lui ont été infligés dès sa plus jeune enfance et elle se rétracte encore quelques fois aux mouvements d'autres personnes à son encontre, sans qu'ils ne soient forcément liés à la violence. Elle s'enferme dans son moi obsessionnel. Bien qu'elle ait prodigué à son tour certain vice dont son mental pourrait souffrir, elle se réfugie dans l'une de ses personnalités suffisamment forte par moment : celle de se dire que cela n'est jamais arrivé ou d'oublier tout simplement ce qu'elle a pu faire mais, pas ce qui lui est arrivé... C'est un passage inné en elle de ne jamais se rappeler quand il s'agit de ses faits et gestes. Ajoutant à cela la souffrance d'une blessure profonde de rejet, d'abandon puis de trahison et d'humiliation venant de sa famille qui l'empêche de vivre en harmonie avec elle même et les autres. Shelley est un personnage complexe aux différentes facettes. Elle est capable d'automutilation et de caprices incontrôlés par intermittence. Elle aime souvent s'enfuir dans le petit monde qu'elle se fabrique et dont elle aimerait croire l'existence. Psychotique ? Névrosée ? Psychopathe ?... De bonne santé mentale malgré les épisodes de son enfance qui la marqueront jusqu'à son âge adulte ? Qu'on la connaisse ou non, on ne pourrait pas vraiment cerner sa personnalité, si ce n'est le manque d'amour qui la rend nerveusement incomprise et de ses paniques régulières qui la projette au devant de ce qu'elle a vécu. Shelley n'a pas toujours était ainsi. Elle a su développer dans les passages de sa vie la douceur, la patience et une forte intelligence, des capacités que l'on pourrait qualifier de jeune fille tout à fait normale. Une enfant que l'on aurait disait adorable, toujours polie et si sage... Qui aurait du grandir comme toutes les autres enfants... Normalement !

Histoire vécue :

Chapitre I : Un jour est une nuit...

On ne sait pas exactement le jour ni le mois et ni l'année de sa naissance. On lui donna alors celle du premier jour de printemps. Shelley naquit par la force des événements dans une maternité de la ville de Glasgow, alors que le docteur n'était pas sûr de son diagnostique. En effet, la petite Shelley qui devait venir au monde, bien au chaud dans le ventre maternel, ne donnait plus signe du moindre geste depuis quelques heures déjà. Seule, dans le liquide chaud où elle ne pouvait plus bouger, en sécurité, loin de tout, elle refusait systématiquement de se montrer. Loin d'imaginer le secret intérieur de la vie, celle qui parfois ne s'explique pas, les médecins décidèrent alors d'intervenir. Shelley n'aurait pas pu se défendre contre le scalpel, ni empêcher les hommes aux blouses blanches venir la sortir de son cocon où elle se trouvait depuis sept mois à peine...

C'était une enfant frêle, silencieuse, qui ne parlait que très peu. Grandissant doucement dans un monde qui lui était déjà hostile, comprenant certaines réalités de la vie pour son jeune âge. Sa mère la délaissa à partir de ce moment, sans rancune et ne se posa plus de questions sur cette enfant plutôt étrange et son père trop prit par son travail, ne put l'élever convenablement. Entourée de nombreux frères et sœurs qui l'isolèrent à leur tour de par sa différence, elle n'eut pas d'autre choix que de se réfugier dans le silence et la solitude, en se cachant le plus souvent là où elle le pouvait... mais pas pour longtemps...

Chapitre II : ...Une nuit : un silence

A cinq ans est-on déjà confronté à tant d'obscénité ? De questions ? A un âge ou l'on ne pense qu'à jouer, la petite Shelley elle, apprenait la peur et la honte chaque jour qui passait. Elle savait l'endroit malfaisant : une petite pièce aux odeurs de terre, pas encore terminée et d'où pendait du plafond une ampoule qui éclairait trop peu, qui lui rappelaient l'instant interminable qu'elle devrait encore subir. Située à l'arrière du garage sombre, à quelques mètres de la maison. Oh ! Elle en avait horreur, tellement horreur... quand IL l'entraînait dans ces bas fonds, dans les méandres de la terreur, là où elle n'osait crier. Le suivre sans se défendre, était pour elle l'acheminement qui la laisserait encore et encore en sa possession et serait loin d'atténuer les blessures profondes qui la détruiraient d'années en années. Mais que pouvait elle faire d'autre ? Et qui aurait pu la croire ? Si seulement ils avaient voulu ne serait-ce l'écouter ou tout simplement VOIR !... ce qui se passait là, juste à côté, par l'un des membres de leur propre famille. Mais comment expliquer à son âge ce que son grand frère de dix sept ans, encore attardé se plaisait à lui prodiguer, alors qu'elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait ? Attouchements sexuelles, sans violences, inceste dont elle ne comprenait pas la signification... et cet objet !?... chaud ? Un matériel dont elle ne voyait pas la forme et qui se posait sur cette petite partie là.... non réactionnelle. Elle n'aurait su faire la différence si il avait du... OH ! Comme c'était... MAL !

Chapitre III : Un silence ... une enfance

A l'âge où le collège continu pour les filles de son âge, Shelley avait décidé de quitter les cours de cinquième et laissa de côté l'école pour s'enfermer dans un autre monde qu'elle se représentait. Elle avait pourtant été une bonne élève et était appréciée par ses professeurs qui la considéraient comme une enfant assez douée mais qui ne participait pas suffisamment avec ses camarades de classe ou au dehors. Elle ne s'était jamais fait d'amies pour la simple et bonne raison qu'elles deviendraient des femmes, tout comme sa mère et envers qui elle ne pourrait témoigner que de la haine. Les résultats qui s'ensuivirent, prirent de réelles proportions. Shelley fut alors considérée comme le deuxième enfant attardé de la famille. Ce qui expliqua son silence plus régulier qui commença à l'entraîner sérieusement dans un certain mutisme.

A peine onze ans et elle savait ce qu'elle faisait. Elle savait qui lui serait maintenant difficile de continuer ce qu'elle avait commencé depuis l'année dernière. Les enfants grandissent et finissent toujours par parler. Un jour ou l'autre, mais pas elle. Non, Shelley ne dirait rien. JAMAIS ! Elle se l'était jurée et elle se terrait davantage dans son coin... son univers... Rien que pour elle. .. Sûrement pour oublier quelques erreurs ou faits et gestes qu'elle se devait de perpétuer sur l'un des enfants de la maternelle d'à côté avec qui elle passait du temps...

- Petit Julien de quatre ans... Tu ne diras rien n'est-ce pas à ta maman ! Ne t'inquiètes pas, je ne te ferais aucun mal, tu verras, tout ira bien... Il faut te laisser faire en silence et tu comprendras combien...

Le petit pantalon tombant sur les petites jambes bien potelées du garçonnet et cette chose qu'elle tenait et..

* Et QUOI ? *

Un mot, toujours des mots qui lui faisaient mal à la tête... tellement mal à la tête...

* Ce n'est pas parce que tu as subit, que tu dois... *

Elle grimaça et se bouchant les oreilles pour ne plus jamais entendre, elle se sauva. Ne plus penser et surtout ne plus jamais recommencer...

* De quel droit !? *

Chapitre IV : .. Une enfance... une adolescence

Douze – Quatorze... Seize ans et toujours la tyrannie de ce garçon, plus connu pour son acharnement à découvrir ce petit corps grandissant et changeant, à lui faire ces choses si méprisables, ignobles et écœurantes... Pour Shelley, son seul échappatoire était de se laisser faire pour ne pas le mettre en colère. La peur qu'il lui fasse bien plus de mal comme il le lui disait et sa corpulence... si impressionnante ! Elle était depuis longtemps sous son joug et ne pouvait plus s'en défaire...

C'est dans les mois qui suivirent, que Shelley quitta définitivement la maison familiale pour l'hôpital que ses parents choisirent avec soin. Ce détail là, elle le connaissait que trop bien. S'être coupé les cheveux pour ne plus se ressembler, être différente, une autre Shelley en somme qui pourrait lui faire oublier ce qu'elle était vraiment : salie et consentante à ses propres yeux. Oui, consentante était le mot tout à fait approprié... Elle avait fait une erreur de plus, irrémédiable mais si libératrice quelque part... Shelley fut retrouvée ce matin là, inerte dans la petite douche. Ce n'était pas la première fois qu'elle attentait à sa vie. Ses parents n'en pouvant plus et ne sachant que faire avaient donc trouvés une solution radicale qu'ils auraient pu identifier à un : à quoi sert de nourrir une gamine qui n'en fait qu'à sa guise et sans cervelle. Ne plus vouloir subir ses crises incessantes qui ne faisaient qu'empirer de mois en mois furent leur paroles finales, aveugles de tout ce qui avait pu se dérouler autour d'eux...ils viendraient la voir de temps à autre... Shelley savait bien elle, qu'elle resterait là-bas toute sa vie.

Chapitre V : .. et toute une vie !

Retourner à la maison familiale parmi les siens depuis quelques jours, en l'honneur de son anniversaire, n'avait franchement pas été une très bonne idée. Ils étaient venus la chercher et c'est en la traînant de l'hôpital jusqu'ici, qu'elle se retrouvait maintenant prisonnière de nouveau.
Vingt ans déjà ! Un âge tellement attendu où l'on se sent épanouie comme beaucoup de filles mais, c''était loin d'être le cas pour Shelley. Elle ne le savait que trop bien. Ils étaient venus alors qu'elle avait oublié, comme à son habitude... Du moins, c'est ce qu'elle pensait...

Peurs, phobies : La seule peur de Shelley est bien celle d'avoir peur d'elle même et de ce qui peut lui advenir sans la confiance de quiconque et dans ses moments de crises de non compréhension, la peur de l'automutilation devient un vrai supplice en son fort intérieur. Elle a peur on l'a lu, de son frère qui a une grande influence de force physique et psychique sur sa personne. Shilley craint aussi le noir, quand elle se retrouve seule. Bien qu'elle ait gardé une bonne partie de son intelligence quand elle n'est pas dans ses crises, sa peur de prendre conscience de ce qu'elle fait ou peut faire la tiraille. C'est un appel perpétuel non entendu. Ses phobies sont diverses, même si elles ne sont pas citées plus haut, comme celles de mourir noyée, des araignées mais surtout de l'inconnu, vu son état mental et tout ce qui se trouve autour d'elle la fragilise que se soit consciemment ou non, même si cela ne peut paraître parfois que minime.

Premières impressions : Elle s'avança lentement devant le miroir, fixé sur le fond du mur de sa chambre qu'elle regarda attentivement pour y voir le reflet qu'il lui projetait : Une fille aux traits fatiguée, blanche et maigrie qui ne ressemblait à rien. A rien du tout.
Elle recula alors en remuant la tête de gauche à droite tout en posant la main sur son œil blessé et prit conscience de ce qu'elle avait fait quelques jours avant, après son arrivée chez ses parents qui avaient bien voulu la recevoir quelques temps. Oh non ! Revenir en ces lieux où tant de souvenirs y étaient restés revenaient comme un goût bien plus amer... Et même si elle n'avait pas voulu le revoir, IL était là pour l'accueillir lui aussi. IL était là qui souriait avec cet air qu'elle lui connaissait, LUI qui n'aurait pas raté de la rencontrer une fois encore après quatre longues années. LUI, qui l'aurait encore entrainer pour... Non... NON !
LUI, vieillit mais si peu changé !
Alors, elle s'était enfuie dans sa chambre et s'y était enfermée, prenant dans la volée, posé sur la table du salon, le ciseau à coudre qui y traînait et s'était mutilé l'œil pour ne plus jamais, oh non,plus jamais le revoir... s'ouvrant par autres endroits et puis... elle ne se souvint plus...
Pas le temps de crever son autre œil dans sa folie destructive...

La comtoise du salon sonna alors les quatre coups de l'après-midi. Shelley sursauta et il lui revint soudainement en mémoire le moment où l'ambulance allait venir la chercher :

* Plus que vingt minutes * lui rappela inlassablement les coups qui se multipliaient avec force dans la grosse horloge en bois.

Aucune pensée ne lui vint à l'esprit à part celle de s'enfuir, ouvrit la fenêtre, la franchit et se sauver
ainsi, loin de la demeure de ses cauchemars. Shelley courut sans s'arrêter pendant un temps indéterminé. Stoppa brusquement, haletante. S'appuya contre un arbre et regarda autour d'elle. après un bon moment, sûre de ne pas avoir été ni vu, ni poursuivit. Elle continua alors par une marche plus lente, s'enfonçant dans le lointain. Au fur et à mesure qu'elle avançait, ses pieds se prenaient dans des tas de pierres...
L'asile de Glasgow, les ruines. Elle avait maintenant le temps de se souvenir que petite fille déjà elle avait supplié plusieurs fois son père de l'y amener. Cet endroit la fascinait, sans jamais l'avoir vu si ce n'est en photo, cet endroit l'intriguait et représentait un peu la liberté, si seulement... il avait été encore en état, comme ça aurait été bon de le visiter ! Oh combien ! En y regardant de plus près, les ruines devenait cependant pourquoi pas, un endroit pour s'y cacher. Une attirance indescriptible de s'en approcher un peu plus, toujours un peu plus...

Chapitre VI : La fin et... le début :

... Elle était penchée sur les écrits dont elle essayait de décrypter le vocabulaire pourtant bien lisible à certains endroits d'un soit disant... Isaac. Shelley, les mains noircies par le papier, les essuyant inlassablement comme pour se purifier, n'aperçut pas de suite l'arche qui apparut et l'asile d'antan reprit sa forme, comme si les pierres lourdes une à une se rassemblaient pour former ce gigantesque refuge. Du sang immaculé un peu partout et surtout cette odeur désagréable de brûlé, insoutenable pour la jeune fille qui, dans un moment de panique en entendant une voix terrible comme provenant des profondeurs des murs qui commençaient à l'emprisonner, plaqua ses mains sur ses oreilles et dans un cri qui lui fit écho, perdit connaissance...

[ J'espère avoir posté au bon endroit et que mes écrits puissent être prit en considération... ]

[ J'en reste sans voix. J'n reste immobile et je sens mon coeur battre contre mes tempes, et je vois mon poil se dressé et des frissons parcourrir ma peau. Je n'éxagère aucunement, je te le promet. Tu écris divinement bien et rare son les personnes qui, par une seule fiche de présentation me font cet effet. Ce que je trouve particulièrement intéressant, c'est que tu ne raconte pas une histoire comme si elle avait été vécu, mais plutôt comme quelqu'un qui la raconte d'une manière autaine, avec des mots scientifique pour décrire tous les états d'âme de Shelley. Je trouve ça franchement remarquable et j'ai bien hâte de voir ce que tu vaux en Rp avec quelqu'un d'autre ! Je ne risque pas d'être déçu, j'en suis certain.

Sur ce, je te Valide avec un grand V, parce que tu le mérite fort bien. Excuse moi de ne pas répondre avec un Rp comme l'aurait fait Elyse, je ne suis pas très doué pour ce genre d'écriture. Tu peux quand même jouer. ^_^ ]

Je ne sais pas si je pouvais répondre mais, je le fais.... MERCI beaucoup de ton appréciation : je suis fortement touchée. Je ne sais pas quoi dire d'autre, à part que je suis honorée d'être validée et que ce forum me plait énormément. Il est tout à fait ce que je recherchais...