Burned Legend
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 Elizabeth Dowell

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Elizabeth Dowell
_PATIENT SAIN

Elizabeth Dowell


Nombre de messages : 1
Age : 30
Date d'inscription : 19/07/2008

__ INFORMATIONS// & RPG

Maladie Psychologique
: - Moi? Malade ... *Leger rictus*

Rôle au sein de l'asile
:

Âge du personnage
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MessageSujet: Elizabeth Dowell   Elizabeth Dowell Icon_minitime21st Juillet 2008, 12:20 am

A peine avais je lue les feuilles trouvées dans les ruines que ma tête commençait à tourner, il me semble que je me suis évanoui mais, je me suis réveillé debout, c'était très étrange. J'étais dans un tout autre endroit, une pièce sombre et sanglante. Les murs était tachée de sang, cela me dégouta un peu. Mais pas assez pour me faire émettre ne serais ce n'importe qu'elle son ayant rapport a la peur. Cette pièce était vide, seule un bureau venait "égayer" l'endroit, une femme était assise derrière le bureau, elle me fixa et cria presque,
"Ne restez pas plantée là! Venez remplir votre dossier médical!"
Cette vois rauque et gluante à la fois me fit sursauter, je m'approcha du bureau ou siégeait une femme à l'allure démoniaque. La fiche à remplir était trempé de sang, je m'empara du stylo à plume, et commença à la remplir.
*Ou suis je donc tombée? Et pourquoi?*





:: Nom : Dowell

:: Prénom : Elizabeth

:: Âge (Date de naissance) : Née le 6 Octobre l926, à donc 14 ans

:: Description physique : Elizabeth Dowell est une jeune fille de 14 ans à peu prés normale, ses cheveux sont lisse, de couleur noir charbon, un jour un poète s'est amusé a les comparé aux abysses infinies de l'enfer, cela fit peur à la fillette, mais elle lui sourit et passa son chemin... Elizabeth attache souvent ses cheveux avec un morceaux de tissus, , laissant une mèche cacher une partie de son visage et surtout un de ses yeux, crevé. L'oeil droit pour être précis. Une cicatrice horizontale partant des cils inférieurs à la paupière vient gâcher le paysage... Mais elle reste une très belle jeune femme, peut-être pas parfaite, mais elle est sûre d'elle, et c'est ce qui la fait resplendir. Son unique oeil noir forme un contraste étonnant par rapport à sa peau étrangement pâle, assez rugueuse d'ailleurs, le froid de l'Angleterre n'épargne pas la jeune fille, elle y est très sensible, un coup de froid est pour cette délicate peau un coup de hache. En hiver, ses joues sont toutes roses, rongé par la dureté du froid. Son nez se fond avec son visage, disparaissant ainsi pour laisser place à des lèvres roses, légèrement gercées, à cause du froid . Malgré un visage plutôt jolie, Elizabeth à de grave séquelles sur le corps, elle a des blessures et des bleus, elle se les ai fait pendant son voyage, courant dans les plaines, gravissant les pente les plus raides, glissant dans la boue, tombant d'énormes rochers. Elle mesure 1m 55 et pèse 55 kilos, elle a une endurance surhumaine et des jambes particulièrement solides. Elle s'habille avec les moyens qu'elle a mais arrive toujours a dégoter de jolie robe élégante pour un prix raisonnable, en veillant bien sûr à y être a l'aise dedans. Sa préférée est entièrement noire, le haut est en fait un corset par dessus une chemise blanche, un très joli contraste, qui rappelle la dentelle des jupons de la robe, elle se porte avec des collant noir et blancs et des bottines noires. Elizabeth à un goût très prononcé pour le noir et le blancs. Mais elle n'aime pas porter des bijoux ou des accessoires. ....

:: Description psychologique : Abandonnée par sa mère, puis par sa grand mère adoptive qui mourût tragiquement, Elizabeth ne peut plus se lier au gens qu'elle rencontre et ayant quitter l'école à neuf ans, elle n'aime pas trop se faire des amis, elle en vient même à haïr la race humaine pendant des moment de solitudes, des moments de douleurs, ou les souvenirs nous hantent, par contre elle adore les animaux et tout ce qui à rapport à la nature, toutes ces couleurs, toutes ces choses étranges qui nous rappelle que c'est la terre qui a le dessus sur nous, pauvres être et non le contraire. pendant son voyage, elle a dû apprendre à se nourrir avec des herbes et des baies. Elle n'était pas vraiment dépendante étant petite, mais elle a décidé de changer de vie! Elle n'est pas timide mais ne parle pas beaucoup, elle a de bonnes manières et soigne son langage en toute situation. Elle est toujours très calme, et réfléchis à tout ce qu'elle fait et dit. Malgré le fait qu'elle est abandonné son école à l'age de neuf ans, Elizabeth à appris de nombreuse chose, des choses plus utile que la couture et la cuisine. Elle a un sens de l'orientation très développé, mais elle ne dira pas non a une carte, pour être sûre. De caractère posé et détendu, rien ne peut déstabiliser la jeune fille, son regards froid et inhumain ont eu raison des personnes les plus dures. Mais ceci n'empêche pas Elizabeth de savoir s'amuser, en effet durant son périple, elle a accompagné une école de cirque et les clowns s'en souviennent encore, sa spiritualité en a étonné plus d'un. Ils se souviennent aussi quand elle a bousculé le cracheur de feu qui a brûlé la moitié du chariot qui transportait tout les costume de la femme à barbe... Complètement gauche, Elizabeth a la facheuse habitude de renverser, briser, ou même de marcher sur les objets de grandes valeurs, qui ne lui appartiennent pas. Cela lui attira quelques ennuie. Mais sa voix de petite fille et son oeil enjôleur lui permit de se tirer d'affaires maintes fois. Elle se donne des leçons avec ces erreurs, on ne l'y reprends pas à deux fois, ça c'est sur! ....

:: Histoire, vécu :
Elizabeth est née à Bradford dans une ruelle en pleine nuit. Sa mère était une prostituée tombé amoureuse d'un voyou qui mourut une overdose, la laissant seule avec une fille de 5 mois dans le ventre. Elle accoucha dans la rue, et laissa sa fille devant une porte avant de mourir dans un park non loin de là. L'enfant fut accueillit par une vieille dame, elle s'appelait Harriet Poot, la douceur incarnée, la vie d'Elizabeth était paradisiaque. Harriet n'avais jamais réussi a avoir d'enfant, elle bénissait le jour ou elle trouva cet enfant devant sa porte. La vieille dame appris à Elizabeth le piano, la littérature et tout ce qu'une jeune fille doit savoir. La petite fille et la femme se fichait de ne pas être du même sang, elle s'aimait et c'est tout ce qui comptait. Le seul problème était les forces de l'ordre, en effet il venait régulièrement visiter Harriet à cause de son défunt mari, il semblerait qu'il soit encore vivant. Il mourut dans un accident mais, certains pense qu'il à simulé sa mort, il était recherché pour avoir escroqué des gens. Harriet ne voulait pas penser qu'il était vivant, car elle était au courant de l'affaire auquelle il était mâlé, et c'st elle qui l'a dénoncé. si il était vivant et la retrouvait, elle serait en grands danger...
Malheureusement, un jour d'hiver, la jeune enfant âgée de 9 ans fut tragiquement surprise par un évènement commun à tous, la mort. Elle retrouva Harriet couchée par terre, un couteaux entre les omoplates, il y avait du sans partout sur le sol, elle ne respirait plus, Elizabeth ne savait pas quoi faire, elle avait peur. Elle ne pouvait plus rester ici, cet endroit était sombre, l'amour d'Harriet n'était plus, il restait seulement l'odeur de cookies qui avait été préparée et laissé au bords de la fenêtre pour refroidir, mélangé au sang qui coagulait sur le corps inanimé de sa grand mère... Elizabeth entendit un bruit dans l'escalier, elle ne pouvait plus bouger, elle avait trop peur. Un homme descendait des escalier il vit la jeune fille transit, il retira le couteau du dos sanguinolent du cadavre et s'approcha lentement d'Elizabeth. Il la pris par le bras et jeta violemment sur le divan, il était fou, sûrement avait-il eu un choc a la tête pendant l'accident. Elizabeth se releva et essaya de s'enfuir, elle se souvint de l'histoire du mari d'Harriet, elle décida d'aller voir la police, mais l'homme l'atrappa par le bras, Elizabeth se défendait, elle mordu a sang la main qui la retenait. L'homme fit un geste brusque avec son couteau et creva l'oeil droit de la fillette. Elle cria tellement fort que cela alerta tout le quartier. Heureusement pour elle, des renfort arrivérent et la jeune file fut transportée a l'hopital a temps.
C'était un endroit triste, les murs était tous blanc, pas une fleur, et surtout personne pour s'occuper d'elle, Elizabeth pleurait la mort de la personne qu'elle chérissait le plus, et la perte de son oeil. Pour elle, la vie n'était que l'attente de la mort, quoi de plus tragique? Elle se retrouvait sans but, seule, abandonnée! Elle devait rester a l'hôpital le temps que son oeil guérisse, mais sachant qu'elle serait à jamais borgne, elle plia bagage et partit. Elle ne savait pas ou aller, ni quoi faire. Elle erra pendant quelques mois, elle fit du porte à porte, demandant l'abri et le couvert. Mais qui voudrait d'une enfant borgne qu'on a essayé de tuer? Tout le monde en, ville connaissait l'histoire. Elizabeth décida donc de partir et d'aller visiter le pays. Ce n'est qu'après avoir pris cette décision que l'aventurière en herbe se souvint qu'Harriet voulait lui laisser tout ces biens en héritages. Elle se dirigea chez un notaire. Après de longues heures de paperasse, le jeune fille avait de quoi faire le tour de l'Angleterre. Elle commença son voyage en direction d'une bonne auberge, elle se rempli la panse tant qu'elle le pouvait, et se remit en route. Elle fit les plus étrange rencontre et découvertes, des prisonniers en fuite, une école de cirque, des poètes et peintres. Elle visita des tas d'endroits, et en fin de compte elle se réconcilia avec la vie. Cinq ans après le début de son périple, elle arriva a Glasgow, ou elle visita les ruines d'un asile, elle trouva des feuille de papier à moitiés calcinées sur le sol, et commença à les lire... ....

:: Peurs, phobies : De nature très méfiante, Elizabeth ne peut pas rester seule avec une personne dans une pièce close. Elle à du mal a regarder une femme jouer avec son enfant, et ne supporte pas qu'on la regarde de haut.....

Après avoir rempli la fiche, Je regardais cette femme qui devait sans doute être un genre de secrétaire. Je lui tendis la feuille, et osa lui demander,
"Pardonnez moi Madame, mais puis je savoir ou suis je ? "
Je ne me faisais pas d'illusion, c'était un asile, j'étais en train de visiter les ruines d'un asile justement, cela m'aurais paru impossible dans d'autres circonstances...
*Si j'avais su à quel point la visite aller être profonde.*
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